Un aller et retour

Un voyage dans le voyage, il est ainsi ressenti mon temps passé en Albanie.

De fait, je vous présente cette fois simplement des vues de l'hôtel. D'un lieu que je considère comme chez moi après trois mois de résidence.

Il m'aura fallut attendre presque un mois, cet été, pour comprendre ce qui me plaisait tant ici.

Les racines. Mes racines. Car par de nombreux aspects, le comportement des gens ravivent les souvenirs de la France d'antan, il y a au moins 35 ans. Une époque avec de la solidarité, de la politesse, du respect, des valeurs familiales,et j'en passe.

Ajouter à cela des montagnes, des femmes magnifiques, et de nouveaux amis, je ne pouvais qu'être motivé à séjourner longuement à Tirana.

Un tiers de la population albanaise vit dans la capitale, soit un million de personnes, pourtant, je n'ai pas l'impression d'être dans une si grande ville. Les gens vivent dans leur quartier. Ça me fait penser à Nîmes également pour cet aspect du mode de vie. Un peu comme si une multitude de petits villages se retrouvaient à partager un espace commun.

Durant cet été, il faisait un peu trop chaud à mon goût, mais là, pour cette saison, c'est juste le paradis. La journée je pourrais aisément me mettre torse nu ( j'évite, pour laisser le tatouage à l'abri du soleil), et seules les nuits, plus fraîches rappellent que nous sommes bien en automne ici aussi.

Quand je pense que je n'avais même pas prévu de passer par l'Albanie.. Ce voyage est plein de surprises, de belles découvertes et de rencontres.

Quelque part, je suis un peu albanais maintenant, car c'est ici que les circonstances, comme le contexte ont permis que le tatouage se réalise.

Et puis, dans "mon" quartier, je suis bien adopté. "Le français" s'est fait sa place, et va encore savourer et apprécier ces lieux pour les deux prochains mois. Après il sera temps de songer à une remise en route.

Pour l'heure, je vis à fond, carpe diem.

Prenez soin de vous, 

Plein de bisous.